WeCo s’engage pour la Journée Internationale des Droits des Femmes !

La journée mondiale de la femme qui a lieu chaque année le 8 mars, et qui est célébrée depuis plus d’un siècle, met en avant les combats des femmes pour leurs droits et permet de faire le point sur les avancées sociales, économiques, culturelles et politiques en leur faveur.

Cette année le sujet choisi est #PressforProgress, l’occasion pour nous de faire un bref état des lieux des évolutions sociétales en matière de sanitaire.

Quelque chiffres-clefs :

  • Selon la fondation Bill et Melinda Gates, le manque d’infrastructures sanitaires a un impact déplorable sur les enfants et est responsable chaque année d’environ 700 000 décès d’enfants suite à une diarrhée.
  • Selon l’UNICEF, environ 44 million de femmes enceintes ont des infections intestinales parasitaires dues à des problèmes sanitaires, ce qui représente de lourdes dépenses de santé pour les pays en voie de développement.

Le cas des femmes

Des études rapportent un lien étroit entre des infrastructures sanitaires déficientes et l’inégalité des genres. En effet, selon une étude de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) publié en 2015, 946 million de personnes à travers le monde vivent sans infrastructures sanitaires adéquates et n’ont pas d’autre choix que de déféquer en plein air. Le manque de sanitaires est particulièrement dommageable pour les femmes puisqu’il les rend vulnérables aux attaques. A cela s’ajoute le fait que durant les périodes menstruelles, celles-ci sont contraintes de manquer l’école et ainsi se poursuit l’effet domino jusque dans les couloirs du travail où l’absentéisme féminin dû au manque d’accès aux toilettes est élevé, ce qui impacte sur leur productivité et donc leurs carrières professionnelles.

Le cas des femmes
Des études rapportent un lien étroit entre des infrastructures sanitaires déficientes et l’inégalité des genres. En effet, selon une étude de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) publié en 2015, 946 million de personnes à travers le monde vivent sans infrastructures sanitaires adéquates et n’ont pas d’autre choix que de déféquer en plein air. Le manque de sanitaires est particulièrement dommageable pour les femmes puisqu’il les rend vulnérables aux attaques. A cela s’ajoute le fait que durant les périodes menstruelles, celles-ci sont contraintes de manquer l’école et ainsi se poursuit l’effet domino jusque dans les couloirs du travail où l’absentéisme féminin dû au manque d’accès aux toilettes est élevé, ce qui impacte sur leur productivité et donc leurs carrières professionnelles.